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Il y a une partie du jeu que je trouve rébarbatif et surtout irréaliste, c'est les batailles à répétitions lors de la résolution des tours.
Quelqu'un peut il me dire comment une bataille peut elle continuer sur 15 tours surtout quand le rapport de forces est disproportionné.
Pourquoi le jeu ne tient il pas compte de valeurs générales bonus/malus et resoud la bataille en 2 voir 3 jours maxi ce qui collerait plus à la réalité..
Perso, je trouve lourd de voir un rapport avec une bataille qui s'étale sur l'ensemble des tours avec au bout une défaite assurée.

sosko wrote:Pourquoi le jeu ne tient il pas compte de valeurs générales bonus/malus et resoud la bataille en 2 voir 3 jours maxi ce qui collerait plus à la réalité..

C'est le cas d'habitude , mais là je viens d'avoir le même genre de batailles que tu décrit : étalé sur tout le tour !

C'est une modif du patch 1.09 ?

Je suis encore en 1.08d, et ca le fait aussi

Hier, j'ai assisté à un combat d'une dizaine de jours entre deux brigades de cavaleries, avec 50 pertes à chaque fois

Donc pas un problème de 1.09.

Je ne pense pas que ce soit une cause de patch car j'ai le jeu depuis le début et j'ai toujours connu ça.
C'est dommâge car ce jeu est superbe et comme beaucoup pas parfait (le jeu parfait existe il?) bien que ses créateurs s'attache à l'améliorer

Ce sont des escarmouches, où est le problème? Que cela fasse un rapport de combat à chaque fois n'est peut être pas utile bien sur, mais cela découle d'un comportement générique du reporting des messages.

Pocus wrote:Ce sont des escarmouches, où est le problème? Que cela fasse un rapport de combat à chaque fois n'est peut être pas utile bien sur, mais cela découle d'un comportement générique du reporting des messages.

Le problème est la tenacité des adversaires ... Ils devraient perdre de la cohésion plus vite dans ce genre de situation, et passer plus rapidement en passif, mettons après le troisième ou quatrième jour de combat consécutif.

Promizoulin !

Il y a un cout de cohesion par tir, donc chacun se fatigue... Je vais peut etre vérifier cela tout de même...

Oui pocus c'est ça qui est rébarbatif, je suis d'accord avec les escarmouches mais le problème c'est quand le rapport de force est écrasant.Je ne comprends pas comment 1 régiment de milice peut tenir 5 ou 6 tours contre une forces constitué d'une brigade voir une division.
Sinon, je profite aussi et ce ne sera pas une nouvelle pour l'équipe pour vous remercier du suivi de votre jeu qui est un des rares qui me coupe de toute vie sociale pendant des heures.

sosko wrote:Oui pocus c'est ça qui est rébarbatif, je suis d'accord avec les escarmouches mais le problème c'est quand le rapport de force est écrasant.Je ne comprends pas comment 1 régiment de milice peut tenir 5 ou 6 tours contre une forces constitué d'une brigade voir une division.

Pas seulement quand le rapport de force est écrasant. C'est encore plus comique quand deux unités de miliciens (c'est à dire des épiciers et des cabaretiers en arme) s'étrillent pendant 10 jours sans reprendre leur souffle ... Cela arrive en particulier quand une de ces unités est enfermée dans une ville. Je me demande simplement si l'endurance des unités de milice qui ne sont pas amalgamées dans une division, ne devrait pas être grandement diminué. Cela vaut aussi pour les unités de cavalerie.
Promizoulin !

Il faut croire que les cabaretiers en arme et les épiciers sont bien plus insaisissables que les régiments réguliers. A quoi bon déployer toute une armée pour attraper quelques rednecks..

Attendez ici il y a 2 problèmes... L'escarmouche entre 2 regiments de rednecks est un phénomène, le fait de ne pas faire plier une milice quand on a une division en a une autre. Pour le 2e cas, je voudrais un cas flagrant (sauvegarde).

Pocus wrote:Attendez ici il y a 2 problèmes... L'escarmouche entre 2 regiments de rednecks est un phénomène, le fait de ne pas faire plier une milice quand on a une division en a une autre. Pour le 2e cas, je voudrais un cas flagrant (sauvegarde).

Ok, au prochain flagrant-délit je te l'envoie. Personnellement, je n'ai pas constaté le même phénomène contre une division, mais ça doit être possible avec une brigade d'infantrie de ligne pas très costaude. Voici les cas les plus fréquents chez moi :

- Une unité de milice est enfermée dans une ville et attaquée par une autre unité de milice ou d'infantrie peu puissante : batailles à n'en plus finir. L'unité assiégée ne se rend pas, mais prend peu de perte à chaque round, et les assaillants ne se démoralisent pas rapidement. Cela arrive par exemple parfois au tour 2 ou 3 de la campagne avril 61, quand les sudistes essaient d'attaquer Haper's Ferry avec une unité de milice.

- Des unités de cavalerie peu puissantes se rencontrent en rase campagne.

Promizoulin !