Rapport de Combat à la France, par monseigneur Marquis de Vaudreuil, gouverneur de la Nouvelle-France.
À mon roi bien aimé veuillez prendre note que la guerre ici à bien débuté et bien que nous soyons en infériorité numérique en terme d’effectif Régulier même en incluant notre Milice qui inclut désormais les téméraire et expérimenté coureur des bois, nos troupes françaises on cependant le mérite d’être de farouche combattant. Malgré tout, je réitère ma demande de renfort pressant sachant qu’il faudrait au moins 20 000 hommes de plus pour gagner cette guerre, nous avons présentement que les effectif pour les tenir à distance voir les retardés. Bien que Louisbourg soit lourdement fortifié, je crains que si la flotte britannique ne désire l’assiéger et là prendre suite à un long siège et blocus naval nous ne puissions absolument rien y faire vu que nos forces navales ne sont pas juste inférieures à celle des Britanniques, mais complètement inexistante!
Bien que quelques renforts soient arrivés cette Année soit 3 200 hommes de Votre Majesté également répartie entre Québec et Louisbourg, je me dois de vous supplier de m’envoyer davantage!
Se rapport comprend de Avril 1755 aller à Décembre 1755, l’hiver débute et la guerre s’arrête je referais un rapport quand une nouvelle neige apparaitront et que de nouveau mon temps sera suffisamment libre pour écrire ses mots.
Nos cartes pour cette année avec nos objectifs pour Votre Majesté :
Front de L’Ouest :
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Front de L’Est :
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Sinon, voici ce qui se passe dans votre humble chez-vous outre-mer, en Acadie nous avons essuyé un lourd siège qui à couté la vie à nombre de nos miliciens et de nos irréguliers Indiens de l’endroit. Sur la Frontière de l’Ouest, nous avons effectué quelques escarmouches avec un succès tout à fait correct. Fort de nos 804 irréguliers Canadiens et de nos 3480 alliés indiens nous avons tenté notre chance avec le général anglais Braddock, il s’en est suivis quelques escarmouches avec un dénommé Washington qui à fait pâle figure comme commandant et une lourde bataille en septembre d’on voici le rapport :
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Cependant, cette belle victoire est quelque peu ternie par l’échec de nos renforts qui devait secourir nos assiégés du fort Beauséjour d’on voici le rapport :
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Toute foi notre victoire dans l’Ouest à aussitôt était suivis d’une autre qui est venue confirmé notre suprématie dans se territoire grâce à nos alliés amérindiens, encore une fois c’est un jeune Officier dénommé Washington qui à essuyé cette défaite :
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